Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, le 27 avril, Armistice de la Seconde Guerre mondiale, le 8 mai.
Chaque printemps, nous commémorons des périodes clés de notre histoire, dont peu de témoins sont encore là pour partager leurs expériences, leurs doutes, leurs peurs, leurs choix, leurs pertes ou leurs victoires de cette époque. Ces victoires ont été pour certains de rester vivants pour raconter et être témoins des effets de leurs combats pour nos vies aujourd’hui.
A Vanves, de nombreuses rues portent le nom de jeunes résistantes et résistants, fusillés ou déportés alors agés d’une vingtaine d’années, à l’époque où le lycée Michelet était occupé par l’armée allemande.
Ces journées de commémoration sont l’occasion de nous souvenir de Jean Bleuzen, d’Antoine Fratacci, de Raymond Marcheron, d’Antoinette Besseyre et de tous les ceux qui se sont battus ensemble pour préserver une société libre et juste.
Les actions collectives peuvent s’inscrire durablement et transformer une société, lui donnant des orientations décisives, en termes de droits sociaux, de citoyenneté, d’égalité.
Dans le contexte politique international actuel comme face à la crise climatique, il est bon de se souvenir de cette cohésion et de se dire que s’unir et lutter ensemble pour la préservation du bien commun est primordial.
